Cameroun: Le palmier à huile et le bananier plantain s’entendent bien

Bikim Benjamin, producteur de palmier au village Mouanda-Eséka.

« J’aime l’agriculture en général, mais ma spécialisation dans le palmier à huile vient du fait que j’ai travaillé dans une unité agricole où il y avait 5 hectares de palmier à huile et un pressoir. Avec le temps, l’unité a grandi et le promoteur est devenu un grand producteur. C’est comme cela que j’ai compris que je pouvais aussi commencer par un hectare  et progresser. Actuellement, je dispose d’une palmeraie de 3 hectares, tous en production.
L’entretien d’une palmeraie simple nécessite beaucoup d’endurance. Tous les trois mois, il faut défricher. Le moyen facile et économique…

Vous pourriez aussi aimer