Ndioro A Mbassa, expert semencier et producteur de semences de maïs à Bafia.
«Ce qui complique davantage la culture du maïs en ce moment, ce sont les trous de sécheresse. Une fois la culture installée, on se dit que tout va se dérouler comme prévu mais l’on a un arrêt brutal des pluies. Cela engendre non seulement des retards de croissance qui ont des répercussions sur la production au bout de la chaîne, mais aussi des conséquences en termes d’attaque des insectes.
Un trou de sécheresse de 5 à 7 jours doit être suivi d’une surveillance accrue de la culture dans le champ. Il…